vendredi 4 février 2022

Horreur, malheur, la poésie vous fait peur

 

En image, l'Echo de Pulversheim de février

Dans le genre littéraire de la poésie qui fait peur, on peut examiner Edgar Allan Poe et son « The Raven ».

Le poète raconte qu’il lit un livre, une histoire d’un autre temps, essayant d’oublier la perte de Lenore, son amour. Il était en train de s’assoupir… quand il entend frapper à sa porte… Et là, never more ! Never more !

Ça fout les chocottes ! Lisez-le, il est intéressant et bien construit. Un clic sur le lien : cette traduction est faite par Charles Baudelaire lui-même.

Du coup, je me suis rappelé d’un poème, plus récent, que vous pouvez lire ci-après. Au moins, il est d’actualité et on ne peut le placer qu’en fin décembre ou début janvier.

Pleurez, dansez

Pleurez, les braves gens, une année nous est morte !
Riez et festoyez pour la nouvelle année,
Mais d’année en année, les années nous emportent…
J’ai entendu pleurer, plus loin j’ai vu danser ;

Que doit-il se passer pour agir de la sorte ?
Si la vie par la mort doit se renouveler,
Quand j’entendrai frapper, sur le bois de ma porte,
Je crois, j’hésiterai, avant de dire : « Entrez ! »

Voilà, maintenant c’est lu ! Ce texte va vous changer la vie ; disponible par un clic ici : « Douze en chiffres et en lettres ».  

Quand la poésie donne à réfléchir… vous aussi, vous hésitez, hein ?

En attendant, je vous souhaite de bonnes lectures. 

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